« Vivre à Lamorlaye » s’oppose à l’implantation à Lamorlaye de l‘usine de méthanisation pour les raisons qui ont été abondamment et longuement explicitées : mauvais choix technique, non-sens écologique et économique. Nous avons suggéré la méthanisation-injection, solution de meilleur rendement, moindre pollution et valorisation plus complète…
« Vivre à Lamorlaye » est favorable aux applications judicieuses de la technologie moderne quand elles assurent des résolutions de problèmes, notamment environnementaux.
Les forages, objets de débats, particulièrement au dernier conseil municipal, sont la bonne solution.
Nous comprenons cependant que le principe de précaution puisse être activé lorsqu’aucune information précise n’est fournie comme c’est le cas pour ce dossier des forages de France Galop.
Si le vote favorable du conseil municipal de Coye la foret, aux forages de France Galop est confirmé.
Peux t-on penser qu’un projet défendu par Mr Cépon est voué à l’échec ?
Après l’usine de méthanisation de fumier de cheval de la CUMA présidé par Mr Crépon, les forages.
Quelle est la suite ?
XSYR 33
Je ne suis pas compétant sur le bien fondé ou pas de l’implantation d’une installation de forage dans les marais de Coye la foret.
Mais si la nappe phréatique correspond aux champs captant a quelque kilomètre, il peut-etre prudent de préserver la ressource et ne pas etre obligé en cas de pénurie de trouver des ressources ailleurs ou de pomper dans l’Oise pour la consomation humaine…mdr
Et sur le plan humanitaire, il est incroyable de pomper de “l’eau presque” potable pour arroser évité la POUSSIERE sur des pistes d’entrainements.
Consernant la canalisation de Gouvieux, il existe des rénovations par “chemisage” type GDF, (un tuyau PE neuf dans une ancienne fonte) ou une résine EPOXI injecter a l’intérieur du tuyau, qui évite aussi de re-casser les routes… surtout pour de l’eau NON-POTABLE.
Et tout ses travaux peuvent etre réfléchie sur plusieurs année, et sans meme recourir a des emprunts.
CQFD
Le principe de précaution est brandi le plus souvent par des incompétents trouillards qui ouvrent le parapluie par grand beau temps. On ne sait jamais.
Outre que cette locution est une sottise des plus toxiques, prendre des précautions, par principe, de correspond à rien d’autre qu’a invoquer la prudence pour ne pas agir.
On finira, par principe de précaution, par préférer les intellectuels assis aux gens d’action qui réfléchissent.
On peut aussi invoquer que le mieux est, parfois, l’ennemi du bien, ce qui évite d’améliorer les choses au titre du même principe de précaution. On ne sait jamais. Oui, on ne sait jamais vraiment avant.
Pour le cas des forages versus captage d’eau à 8 km, 8 000 mètres de tuyaux de plomberie, huit milles mètres, il faut être complètement aveugles pour ne pas voir où se situe l’avantage que procure les forages.
Je suis aussi très étonné de l’unanimité des « contre » forages, tel que rapporté par Lucienne Jean, et de la convocation d’arguties aux effluves écologiques pour justifier d’une méthode d’arrosage, les forages, économes en énergie électrique et en perturbations de la vie aquatique.
Bien sur, 8 km c’est loin, c’est en aval, ça se voit pas.
C’est comme ça depuis 100 ans, dixit Mme Lucienne Jean.
Incompétence, égoïsme et présomption réunis ; En groupe on est plus forts même quand on est très sots.
Conservatisme élevé au rang de dogme par des esprits sclérosés en hébétude crispée.
Cette position prise par des prétendants à des responsabilités, locales, utilitaires, domestiques, pragmatiques, concrètes n’est pas à l’actif de leur bilan et ne fait pas d’eux, à mes yeux de citoyen, électeur, et contribuable, des candidats crédibles à des fonctions municipales opérationnelles ou à la gestion d’associations représentatives.
Selon les notes prises par Mme Lucienne Jean, accessibles sur sont blog, sont contre :
AP3F,ACVEL,ASIE,Philippe Marcovitch, Bernard Kempff, Martine Mahaut, Eric Drumont
Une mention particuière pour ce dernier :
La vraie raison est économique : pour ne pas changer le tuyau qui vient de l’Oise.
ben oui ! Pourquoi faire bon marché si on peut faire dispendieux et de piètre rendement.
La canalisation centenaire qui vient de l’Oise fait seulement 8 km, je crois rèver !
Une autre mention pour AP3F qui précise que le prélèvement totalise 600 000 m3/an.
Aujourd’hui cette très belle quantité d’eau est prise dans la rivière Oise pour être déversé dans les terrains où elle s’écoule dans le sol pour 95 %.
Si 600 000 m3 représente 83% de l’aquifère, l’aquifère pèse 723 000 m3.
le prélèvement d’eau est de 5% de 600 000m3/an soit 30 000 m3/an.
Soit 4% de l’aquifère. quatre pour cent.
Cette installation est soumise à autorisation; elle dépasse, en cumul les 200 000 m3/an en deça desquels une déclaration suffit.
Gageons que l’autorisation sera donnée.
La nappe aquifère de sera jamais d’un niveau aussi bas que celui des objections piteuses présentées, sans rire, par des représentants d’associations et élus.
Pour être complet, monsieur le maire a été notifié par courrier daté du 7 avril 2011 de la demande de France Galop qui a déposé une demande d’autorisation pour prélever de l’eau souterraine pour arroser les pistes de courses et d’entrainement à Lamorlaye et Coye La Forêt.
Le service de l’eau, de l’environnement et de la forêt rappelle dans son courrier adressé au maire Didier Garnier, qu’il lui appartient de soumettre cette demande à son conseil municipal lors de la prochaine réunion (décret n° 93-742 du 29 mars 1993).
De plus, il précise que faute d’avoir pris sa décision dès l’ouverture de l’enquête ou à défaut dans les quinze jours suivant la clôture du registre d’enquête, le conseil municipal est réputé favorable à cette réalisation.
Certains pourraient conclure hâtivement que cette omission était calculée par notre maire mais je vous laisse le soin d’apprécier par vous-même.
Annie Bal Costumé ! Très drôle ! Moi c’est Aqueduc de Guise.
La canalisation, elle n’est plus sous garantie ? Même en bricolant un peu les dates ?
Vous pourriez aussi le démonter et le vendre aux antiquaires ?
Le débiter en petites sections et le mettre aux enchères sur eBay ?
Une tuyauterie de 1895 n’est pas aussi courante de l’eau qui la traverse ?
Qu’elle est la longueur de la canalisation entre le terrain de France Galop et l’Oise ?
Les pertes de charges de cette canalisation doivent êtres importantes ? Non ?
La conduite est au refoulement de la pompe (la pompe pousse dans le tuyau).
Les fuites de cette canalisation centenaire et sclérosée ne doivent pas être négligeables non plus.
J’ai pour ma part une lecture différente de la votre s’agissant de l’opposition aux forages . Vous mettez en avant les bienfaits de cette solution, vous parlez d’autorisation en indiquant qu’il n’appartient pas à la mairie de donner son avis.
Vous oublié qu’il y a eu une enquête publique concernant ces forages, que la mairie n’a pas communiqué sur le sujet. Qu’aucune information n’a été apportée par la mairie et que ce n’était même pas à l’ordre du jour au conseil précédent le refus. Vous dites qu’il faut argumenter ses objections et je vous rejoint mais vous omettez (volontairement, peut être parceque vous êtes persuadé du bien fondé des forages) de préciser qu’il faut aussi argumenter les raisons qui vous pousse à voter en faveur. Et on ne peut pas dire que cela fut le cas au conseil municipal. N’oubliez pas que les forages ont été fait avant même d’avoir reçu l’autorisation.
Je considère pour ma part que dans son vote contre, les conseillés ont exprimés leur ras le bol car une grande partie des dossiers sont traités ainsi.
Que le maire revoit sa copie et fournisse les éléments qui permettraient de prendre les décisions (bonnes ou mauvaises) en connaissance de cause et cela pour tous les dossiers.
Lamorlaye mérite mieux que tous ces enfantillages de cours d’école.
Les forages ont été faits avant l’autorisation !
Il n’y a pas d’autorisation pour forages agricoles de moins de 200 000m3/an.
Il y a une simple déclaration auprès des autorités compétentes parmi lesquelles la mairie ne figurent pas.
C’est un forage agricole, imaginée une petite commune avec beaucoup de gros forages agricoles et une toute petite mairie.
Pour la déclaration des forages particuliers, moins de 1000m3/an de mémoire, la mairie fait boite à lettre.
A l’initiative de qui ce vote a-t-il été demandé ? Voilà la question à laquelle je ne sais pas répondre.
Mon opinion est que :
1/ si ce sont les objecteurs aux forages qui ont demandé de vote la mairie avec son service juridique savait que cela ne servait à rien sauf éventuellement à se faire mousser si l’ “autorisation” était votée.
2/ si la mairie ne savait pas que son avis est inutile c’est que le service juridique, voté au budget, n’est pas encore opérationnel et qu’une consultation d’avocats a été pas jugée utile.
3/ si la mairie savait que le vote ne servait à rien,
elle jouait sur du velours façon théâtre.
En cas d’acceptation elle en recevait les lauriers.
En cas de refus, les forages se font quand même.
Voilà pour répondre à la partie opinion.
Pour la partie arguments.
Les forages prennent de l’eau à la nappe, dans notre cas, pour des arrosages, estivaux.
L’arrosage restitue à la nappe 90% et plus des quantités d’eau déversée
que cette eau soit de pluie, de forage ou de pompage de cours d’eau.
Aujourd’hui l’arrosage des mêmes surfaces est fait, (si mes renseignements sont bons), par pompage dans un cours d’eau, ce qui prive le cours d’eau de la totalité des volumes prélevés, volumes qui vont à la nappe.
Madame Hydraulucienne JEAN argue que dela existe depuis 100 ans et que la nature a depuis trouvé la parade.
Propos réactionnaires comme on en entend plus, aux conciles du Vatican.
Le forage est donc grandement vertueux en tant qu’il se substitue à un prélèvement sur des cours d’eau, prélèvement qui sont faits, par définition aux moments de l’étiage, alors que la nappe présente une grande inertie, pluriannuelle au moins.
Au regard des critères d’opposabilités il faut avoir de bonnes raisons pour s’opposer à des forages et semble t’il à des créations de forages.
A fortiori pour des forages remplaçant des puisages en rivières.
entièrement d accord
dossier présenté précipitamment en conseil
il est aise de s’exprimer dans un blog encore eusse t il fallu lire le dossier!
Pour les forages individuels une déclaration, très simple, à la mairie est demandée.
Rien de plus.
Si les critères sont respectés, débit, hauteur, usage de l’eau, … la mairie n’a rien à opposer, elle transmet.
Un forage particulier ne coute pas cher dans nos régions.
Il peut convenir pour une pompe à chaleur eau/eau, pour alimenter les toilettes, pour alimenter piscines et bassins pièces d’eau, pour l’arrosage, dans la limite d’un certain cubage annuel assez généreux.
Chuis pas puisatiers… très attaché à chaque maison son puits.
Un puits moderne (forage) c’est plus discret que les puits à grand-père, pas tous jolis.
Y a pas à demander d’autorisation pour un forage agricole inférieur à 200.000m3/an.
Un déclaration à la préfecture et à la DRIRE suffit, de memoire.
De plus, l’opposabilité aux forages doit être motivée. C’est dire !!!
Pour forage sur site pollué ou non respect des prescrition techniques, trucs comme ça.
Effarant les gens qui briguent des responsabilités, qui votent, stérilement, contre une installation qui se fera sans eux, contre eux, qui est utile et améliore la situation anté.
Bref ça fait peur tant de connerie.
A la lecture des notes du 09 mai d’hydraulicienne à propos des forages je ne vois pas d’argumentaires sérieux et un tant soit peu construits contre les forages.
Des avis, des opinions, oui, oui, oui… Pas d’arguments, non, non, non.
Il est fallacieux de se reporter à la charte, art.8, du PNR pour justifier cette furieuse opposition aux forages.
En gros, l’art.8 dit qu’il ne faut pas faire bobo à la ‘Nature’ dans le périmètre du PNR.
Pas la moindre objection aux forages, au contraire, l’article 8 est plutôt favorable aux forages et opposé au puisage en rivière de façon à : ‘Préserver la qualité de l’eau et des milieux aquatiques’.
« Article 8 – Gérer durablement les ressources naturelles page 63
8.1 – Préserver la qualité de l’eau et des milieux aquatiques
8.2 – Participer à la gestion durable des ressources minérales, concilier au mieux
industrie extractive et préservation de l’environnement
8.3 – Contribuer à la politique de gestion des déchets
8.4 – Contribuer à la prévention de la pollution atmosphérique, promouvoir les
économies d’énergie et les énergies renouvelables
8.5 – Intégrer la prévention des risques majeurs dans l’aménagement du territoire
et la gestion des espaces »
Bien que le PNR soit l’équivalent contemporain du pittoresque et désuet garde champêtre à moustache en guidon de vélo et uniforme d’opérette, juste bon à ressasser les méthodes de compostage, qui sont ses limites objectives de compétences, sa charte, rédigée par d’autres que des rombières à tisanes bio, en bonne langue de bois, ne laisse pas la possibilité de dire à des représentants élus que les forages sont toxiques à la nature.
Les forages font l’objet d’une réglementation, facilement accessibles qui dit que ceux qui nous concernent sont légaux.
Les forages en nappe sont moins perturbant pour la nature que les captage des cours d’eau qui troublent la vie aquatique.
Pour info avis défavorable du commissaire enquêteur !!!???