Le nom des rues en dit long de la réalité historique d’une ville, en particuliers s’agissant des noms propres.
Aux panneaux on sait les options des maires successifs qui ont nommé les rues.
La rue Peugeot est plus probable à Sochaux qu’à Billancourt où la rue Renault est une révérence obligée.
Citroën a son quai à Paris pas sur un chemin latéral droit de halage du canal du midi.
Une rue de leader communiste signale les errances passées d’un édile municipal dont un proche à atteint une notoriété dépassant les limites vicinales.
Une rue de la loge indique une appartenance maçonnique, souvent la loge s’y trouve.
Lamorlaye qui se gausse de chevaux n’a pas donné à une voie un nom de canasson triomphant.
L’examen rapide et superficiel des noms des rues de Lamorlaye, pour ceux des noms qui résultent d’un choix, fait ressortir que ce sont les aviateurs qui dominent. Juste retour pour une ville qui vit de l’aéroport de Charles De Gaulle que je n’ai pas classé dans les aviateurs.
Aviateurs des rues de Lamorlaye :
Je suis pour baptiser le château Palais Garnier.