Didier Garnier, Maire de Lamorlaye inaugure une nouvelle forme de collecte de fonds pour les œuvres sociales de sa ville.
Il intente des procès à certains de ses conseillers municipaux, en gros pour propos outrageants (de police municipale), diffamatoires, injurieux.
S’il gagne, les dommages et intérêts seront versés aux dites œuvres sociales.
Parmi des railleurs (de chaine de vélo), le Canard Enchainé et autres Guignols de l’Info devraient être les donateurs les plus généreux.
Depuis le Badern-Badern pour le Général De Gaulle en passant par le nom d’emprunt de Giscard, le tonton de Mitterrand, notre Dame de Paris, la Royal bêtitude, Porcinet « Ce porcinet sudoripare, qui a le charisme d’un beignet » (Jack Lang à propos de François Hollande), le nain à talonnettes, les caisses devraient être pleines.
En poussant le raisonnement à l’absurde, les éloges faits au Maire, d’autant plus chers qu’ils sont rares, devraient bénéficier du traitement inverse.
Pour que çà froisse dans les caisses, comme dirait « La Comtesse » dans son album.
Une petite quête m’sieurs dames !
Quand des dommages et intérêts sont demandés c’est en principe pour réparer une souffrance qui est évaluée à une somme d’argent XXX (par exemple aller chez le psy pour se faire soigner) . Dans l’affaire concernée il semble donc que les dommages ne réparent nullement une souffrance, mais alimentent les caisses, aux dires du demandeur, de quelques œuvres sociales !!!! ha ha ha , Comme c’est beau de donner ,……. Mais le claironner partout et en presse locale, comme c’est mesquin, vil, et grossier…… Le don n’a donc plus aucune valeur, puisque en faire publicité relève de petite campagne de promotion. A genoux les bénéficiaires, vous devrez remercier haut et fort si vous percevez ce « dommage », vous devrez aussi établir un reçu pour permettre au donateur de le déduire pour partie de ses impôts Alors méfiance, le geste ne sera pas gratuit, il vous en coutera le brossage permanent du poil, et dans le bon sens …..
Les silencieux et les flatteurs sont des sans coeurs qui méprisent les oeuvres sociales.
D’habitude les donateurs restent discrets.
Une relance de la profession d’Avocat ?